Le nom et le déclic d'Aïna
Tout commence par le formidable élan de vie, celui de Maryse, la grand-mère de Florence.
A 75 ans et après le décès de son mari, celle-ci décide de changer radicalement de vie : s’investir dans une association à Madagascar et aider à la réinsertion rurale de familles sans-abri. Alors qu’elle n’avait quasi jamais voyagé, Maryse part pendant plus de 20 ans, plusieurs mois dans des zones très reculées de l’île malgache. Son association a déjà permis de sortir plus de 400 familles des bidonvilles.
Les capacités de résilience et de bien vieillir de Maryse sont déterminantes pour Florence. Elle en tire la conviction que peu importe l’âge, la liberté et la joie de vivre peuvent traverser les années.
C’est le déclic. Aïna, « vie » en Malgache. Florence veut créer des solutions concrètes pour améliorer le quotidien des ainés et leur permettre de prolonger leur liberté.